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mercredi 9 mai 2012

Claudine et Annie au Tapeo

L'endroit est allègrement bondé, même un mardi soir. Cela va sans dire, la réputation du Tapeo et de sa chef Marie-Fleur St-Pierre n'est plus à faire. Rien de trop beau pour la classe ouvrière, ma coloc et moi avons jeté notre dévolu sur ce restaurant pour une grande occasion.



L'ambiance calculée pour de longs soupers à discuter est parfaite pour souligner le stage d'Annie en Uruguay. Lumière tamisée, bouteille de rouge et tapas en chemin, il ne reste plus qu'à apprécier le moment.


                                   
La serveuse nous recommande de 5 à 6 tapas à partager, nous écoutons ses conseils. Elle nous explique l'arrivage du jour, soit une brochette d'espadon servie avec une sauce citronnée et des légumes, ainsi que les légumes du jour, des rapinis à l'ail. Les deux plats sont commandés. L'espadon est très bon, la viande est ferme et les saveurs rafraîchissantes. Le rapini est un peu mou, rien d'extravagant.



Les croquettes de morue rattrapent la dernière impression. On n'abuse pas de la panure et la chair est tendre. Trempées dans la sauce tartare, ces boules de poisson réchauffent le gosier.


Coup de coeur pour les patatas bravas. Les petits cubes de pommes de terre sont couverts d'une poignée de fromage et enveloppés d'un crémeux mélange d'assaisonnements. On perçoit un goût de chips BBQ. -Oui, de chips BBQ-


Finalement, la - LA - bavette de veau. La tendre pièce est cuite sur le grill et coupée en fines lanières. Je me suis régalée de cette goûteuse viande rougeâtre.


Nous sommes traitées comme des reines du début à la fin. Nos seules préoccupations : discuter et savourer les plats. Puisqu'on guide la cadence des arrivées de nos tapas, qu'on mange à notre rythme et sans pression, le Tapeo est parfait pour les grandes occasions, pour les moments privilégiés.


Tapeo
511, rue Villeray

                                                                                                                       .... Bon voyage Annie !

mardi 7 février 2012

Claudine, un soir de tempête au French Connection

Un mardi soir de tempête, j'ai donné rendez-vous aux copines dans un resto nouvellement installé sur le Plateau. Nos petites personnes aux épaules enneigées étaient les seules courageuses de la place. Inutile de dire qu'on a été le centre d'attention du French Connection !

Le décor minimaliste prône le mélange de matériaux massifs. Le résultat est moderne. La cuisine ouverte offre une proximité intéressante avec la nourriture et celui qui cuisine. Grâce à l'action des cuisines, l'ambiance est
upgradée. J'aime ce détail "au goût du jour" de plus en plus observé.


Vu toute cette neige, notre chef - parce que OUI, ce soir là c'était NOTRE chef - était en retard. Nos estomacs n'en ont pas souffert pour autant. Pour patienter et éviter que la bouteille apportée pour l'occasion tape trop fort, le serveur nous a offert de délicats amuse-bouches.

Une terrine de canard coiffée d'un chip de pomme et une bouchée de fromage québécois plus tard, notre chef est arrivé.

Faute de temps, nous avons opté pour le menu à la carte. Pour avoir un peu de tendresse, les copines se sont jetées sur l'onglet de boeuf. Une pièce de viande qui se respecte, accompagnée d'une sauce sucrée "juste-assez".

N'écoutant que ma wildness, j'ai jeté mon dévolu sur le porc croustillant. La viande au chaud dans un baluchon de pâte croustillante, était abrillée de Bouc émissaire et de champignons.

Ce fromage d'ici a ce qu'il faut de personnalité pour prendre sa place sans tomber sur le coeur. Les textures et saveurs de mon assiette ont fait justice aux produits québécois. Tu as surement deviné que le French Connection prêche l'utilisation des produits du terroir...

La suite de notre soirée étant dédiée au théâtre, nous avons renoncé au dessert. Plus d'une heure dans le noir avec le ventre trop plein peut -parfois- se traduire en un combat contre Morphée.

Au final, mes papilles se sont éclatées pour
une quarantaine de dollars. Le prix est justifiable par la qualité des produits et parce que c'est un "apportez votre vin". Le menu dégustation semble un alibi suffisant pour un deuxième tour. J'y retournerais volontier avec les copines, ou pour une date.

French Connection
4675, boulevard Saint-Laurent (coin Villeneuve)

samedi 26 novembre 2011

Claudine s'époumone à L'Astral 2000

L'astral 2000 est le bar idéal pour chanter -ou gueuler- sur un stage sans se prendre au sérieux. L'endroit, situé presque coin Papineau et Ontario, n'est plus un secret pour les amateurs du genre. Les vendredis et les samedis soir, la place est bondée de chanteurs amateurs, pour la plupart sans talent et ayant quelques démons à exorciser.

Je sais, c'est le genre de sortie typiquement féminine. Ouin pis !? Il ne fait pas beau, les journées sont aussi grises que les nuits et on a toutes une baisse d'énergie à la fin du mois de novembre. C'est suffisant comme raisons pour aller s'époumoner sur un (ou plusieurs) hits de Bon Jovi avec les copines.

Ne soyez pas effrayé par le décor défraîchi et les quelques piliers de bar. Pour une soirée réussie, il faut se laisser prendre au jeu des télésouffleurs et des airs populaires les plus quétaines. Accompagnez le tout d'un bon -ouin, c'est discutable- pichet flat et je vous garantis une instinction de voix au réveil.







Parmi les oeuvres que nous avons chanté de façon mémorables il y a eu ;

- Living on a prayer de Bon Jovi (Mon classique préféré de karaoké);

- Last Christmas de Wham! (Parfait pour une gang de filles);

- We've got to going on des Backstreet Boys (Bis).




Recette parfaite pour un petit boost d'énergie et un éventail de souvenirs hilarants à se rappeler lors du trajet de métro lundi matin...

samedi 2 juillet 2011

Claudine au Café l'Extase

Le soir, l'Eggstase se transforme en l'Extase. J'adore les jeux de mot avec "egg" (not). Si ce n'était pas de mes amies, ce simple concept m'aurait découragé à mettre les pieds dans ce restaurant. Heureusement, j'ai accepté leur invitation.




L'Extase est situé sur la rue Masson et possède la terrasse idéale pour les soirées d'été entre amis. Le décor oscille entre le kitsh et le classique. Par kitsh, je pense à un mur d'eau avec des bulles... Qu'à cela ne tienne, les efforts sont concentrés sur la bouffe.



Un charmant serveur à l'accent français a patiemment répondu à nos questions et écouté nos conneries. Il nous a proposé un spécial intéressant, un choix de deux entrées accompagnées d'une pinte pour 21 $. Un concept abordable et parfait pour le partage.



Avec les copines, j'ai goûté aux pétoncles dodus à la cuisson parfaite, au tartare de saumon, à la poutine au boeuf et cheddar vieilli ainsi qu'aux tendres et croustillants calamars frits.



Je recommande les pétoncles et les calmars pour lesquels j'ai eu un coup de coeur majeur. Ils sont parfaits pour les amateurs du genre. Autre point positif, les portions. Elles sont biens calculées, on sort pas de table le pantalon détaché.



Comme le restaurant est grand, les tables sont à une bonne disctance les unes des autres. Ça les filles, ça veut dire que c'est l'endroit rêvé pour les discussions enflammées, parfois stupides et toujours croustillantes qu'on a entre amies...




L'Extase (ou l'Eggstase, pour les intimes)
3036, rue Masson
Montréal

dimanche 5 juin 2011

Claudine swap ses fringues chez Telegraphe

Dernièrement, l'équipe de Telegraphe a organisé un swap. Vous savez, ce genre de soirée entre filles où l'on s'échange des fringues ?

L'idée est de vider son placard, donner le surplus et rafraîchir son inventaire en bonne compagnie, un verre de blanc à la main.

Dès notre arrivée, beaucoup de vêtements attendaient sagement l'adoption. Assez pour briser un des racks... Une pôle a cédé sous mes yeux et promis c'était pas ma faute !


Fidèles à elles-mêmes, les filles de Telegraphe ont reçu leurs invités avec des macarons, des gâteaux et autres douceurs convoitées par la gentes féminine.

Les invités ont trouvé chaussures à leurs pieds et autres coquetteries. Pour ma part, j'ai adopté blouse, foulard, t-shirt, accessoire et veston. Très heureuse de mes trouvailles, j'en ai déjà porté quelques-une !


Cette blouse de soie donne un oumf aux tenues les plus simples.

Un foulard violet et un t-shirt de coton noir, idéal pour une journée confortable.


Un foulard de coton gris, excellent passe-partout !

Un chandail légé, avec une touche estivale.


J'ignore d'où proviennent ces pièces, mais pour celles que ça concerne... Merci !

lundi 3 janvier 2011

Claudine mange au Vallier

Le Vieux-Montréal n'est pas un endroit que j'aime particulièrement fréquenter. Certes la beauté des monuments historiques, la vue sur le fleuve Saint-Laurent et les rues pavées créent un décor féerique, mais les attrapes touristes et les prix des commerces et restaurants sont souvent ridiculement gonflés. Cela dit, l'amie Béatrice m'a fait découvrir l'exception à la règle.

Le Vallier est un croisement entre un restaurant sportif, la Cantine et un chalet. Malgré les très hauts plafonds, le décor de ce resto est chaleureux et sans trop de prétention. On retrouve beaucoup d'éléments en bois vernis et foncé, de la brique, de l'orangé et des luminaires colorés intéressants.
Le service est rapide et courtois et une partie du menu est dédié à la cuisine québécoise réconfortante. Ce détail n'est pas futile lorsqu'un jeudi soir de décembre on entre les pieds gelés dans un restaurant.

Béatrice s'est régalé d'une méga pièce de viande : une bavette de boeuf marinée accompagnée de légumes de terre. Depuis, son organisme regorge de protéine et de fer.

De mon côté, je suis sortie de mes vieilles chaussettes et j'ai opté pour un pâté chinois nouveau genre. C'est-à-dire de l'agneau braisé avec une sauce au maïs, le tout recouvert d'une onctueuse purée de patates douces. J'ai souvent clamé - et je le pense toujours - que le pâté chinois, lorsqu'on le cuisine, est un plat qui salit beaucoup trop de vaisselle pour le résultat final. Celui du Vallier fait exception à la règle. Je serais prête laver 8 chaudrons pour en cuisiner un pareil !

Je m'en suis tiré en payant une trentaine de dollars, une Griffon rousse et le pourboire inclus. Ce prix me semble raisonnable pour un restaurant du
Vieux-Montréal. Envie d'un peu de réconfort lors d'une froide soirée de janvier ? Vous savez maintenant où manger.

samedi 11 décembre 2010

Claudine va chez Uranium

Après 45 minutes de métro et une marche dans la neige et le froid, les portes d'une vieille usine recyclée en édifice à bureaux branchés se sont ouvertes pour nous. Divans en léopard, immenses murs blancs, planché d'origine et éléments décoratifs rétro, voilà un juste portrait des lieux de travail de l'équipe Uranium. (Lieux de travail qui me font baver, avouons-le !)

Pourquoi me suis-je rendu dans ce local ? Pour y découvrir les nouvelles créations de l'entreprise montréalaise. Je ne suis pas une grande consommatrice d'accessoire "neuf". Ma boîte à bijoux est constituée à 90 % de trouvailles vintages dénichées ici et là lors de séance de thrifting. Ceci dit, certaines pièces originales m'ont tout de même séduite.


Après avoir pigé dans l'attirant buffet de jujubes et fait un tour d'horizon, mes yeux se sont posés sur une mignonne paire de boucles d'oreille. Des anneaux et une tête de cervidé dorée, la combinaison parfaite pour faire fondre mon coeur. Un pareil bijoux aurait été introuvable dans un sous-sol d'église !