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samedi 9 janvier 2010

Claudine et le chalet – 2ième partie

Fidèle à son habitude, le temps s’est chargé de faire passer cette semaine de repos très rapidement. Sans même avoir eu le temps de s’en rendre compte c’était déjà jeudi. Pas n’importe quel jeudi, c’était le jeudi 31 décembre, date butoir de l’année 2009.

La randonnée

J’ai décidé de meubler la dernière journée de 2009 avec mon frère, ma belle-sœur et une paire de raquette high-tech. Ce n’est un secret pour personne, je n’aime pas le sport. Je n’ai aucun talent sportif, je n’ai pas de coordination, ni d’endurance et si je continue ainsi la liste sera longue et ce billet ennuyeux. Malgré mon indisposition physique et mentale à l’activité physique, j’ai tout de même profité du décor champêtre que m’offrait le chalet pour faire un petit tour en raquette dans les bois. Je ne compterai pas de menterie, la balade n’a pas durée 3 heures et s’est terminé les fesses sur mes raquettes et une bière à la main. Rien de mieux pour relaxer en regardant le décor glacé et les poussières de neige tomber.





La petite randonné était aussi un prétexte pour faire taire ma oh-combien-fatigante conscience qui ne cessait de me dire de bouger et d’arrêter de manger. Je l’ai écouté mais disons que j’ai un botché la job...

La fête !
Après l’épisode de « Claudine apprend à marcher avec des trop longs et trop gros souliers de métal », la soirée tant attendue était enfin arrivée. Les joues roses et les cheveux qui sentent le dehors, j’ai commencé à préparer le repas du jour de l’an. (Une première dans ma carrière de femme à marier). La dinde, gracieusement offerte par la mère de Dom, a été somme toute très facile à faire. (Pour plus de crédibilité je tairai le fait qu’elle était déjà toute prête à faire cuire)Après le repas nous avons simplement et joyeusement profité de la soirée à jouer à des jeux de société, à dire n’importe quoi et à rire. Il est très difficile de décrire clairement la soirée de n’importe quel 31 décembre. De ce contexte, je crois qu’une photo vaut mille mots.














Pour bien clôturer chaque fin d’année, le 31 décembre ça se passe entre amis. Dans un bar ou dans un party de cuisine, l’important c’est d’être bien entouré. C’est ainsi que j’ai défoncé les premières heures de 2010. L’an prochain je me mets à la recherche d’une commandite de flûte !


vendredi 1 janvier 2010

Claudine au chalet – Partie 1

Comme le veut la tradition, je dois avant toute chose vous souhaiter une bonne et heureuse année 2010. Maintenant passons aux choses sérieuses.


Ça y est, c’est fait. Le temps des Fêtes est pratiquement terminé et j’ai retrouvé mon ventre ballonné et la sensation d’avoir acheté mes jeans un peu trop petit. C’est la faute aux tourtières, cafés Amarula et collations de minuit de ce monde. Me voilà revenue aux remords instantanés et lorsque les annonces de fitness dépôts recommenceront à être diffusées à chaque deux publicité…

Dès le 27 décembre les portes du chalet que nous avons loué nous étaient ouvertes. 7 jours de pure lâcheté et gourmandise étaient à l’horaire. À l’heure où j’écris ces quelques lignes, le chalet est toujours disponible mais j’ai déjà atteint mon quota de paresse.

Voilà donc un petit aperçue, surtout visuel, des activités (Oh combien intellectuelles) que nous avons faites dans ce coquet chalet vieux de 160 ans.

La bouffe et cie
J’ignore pourquoi mais manger est la principale activité qui me vient en tête lorsque je n’ai rien à faire. Heureusement, je ne suis pas la seule dans cette situation. Lors de ce séjour, tout était prétexte à fouiner dans le frigidaire…




Trouvez le bonhomme de neige qui vomis...




Maintenant il est facile de comprendre mon paragraphe d'introduction...

Les films
Fidèle à sa définition, il est insensé de penser qu’on peut écouter la télévision dans un chalet. C’est vrai, en partie. Sans avoir le câble, nous pouvions tout de même écouter des films. La meilleure idée de mes acolytes fût d’écouter (ou réécouter) Paranormal Activity dès le premier soir de notre arrivée. Résultat : J’ai découvert que passer les nuits à trois dans un lit c’est un peu serré mais tellement rassurant.



Le coin du feu
Finalement, le poêle à bois, gentiment appelé : La Truie. C’était mon amie et ma fidèle compagne, elle a été là pour m’épater, me réchauffer et me réconforter lors des jours passés entre ces murs centenaires. Je me sentais fière comme une mère devant les premiers pas de son enfant lorsque je regardais danser ses flammes rouges au creux de son ventre. (Aucun sens de l'exagération ici) Comme dirait l’autre, j’ai du Gagné dans l’nez !